J’ai eu envie de suivre des cours de chant après avoir entendu une chorale chanter des chants cistercien lors d’une retraite dans une abbaye

En revenant de cette retraite je n’avais qu’une envie : chanter.

Dès mon retour j’ai été voir un chef de chorale afin de chanter des chants cisterciens qui m’avaient tant plu. Après m’avoir fait chanter quelques notes, il m’a suggèré, poliment, de trouver un professeur de chant afin de travailler ma voix, la justesse et le rythme. En faisant des recherches sur internet j’ai été attiré par les cours proposés par Françoise Akis. J’ai sélectionné ce professeur parce que son descriptif, son approche corporelle me plaisaient particulièrement. Finallement j’avais envie de chanter pour me faire du bien. Je sens que quand je chante, même mal, ça me rend joyeux et j’ai envie de développer cet aspect là.

J’ai décidé de me donner une année sabatique afin de me découvrir et de découvrir à travers différents cours : des talents, des envies, des plaisirs, des rencontres,...

Je ne crois pas au hasard et je pense que je ne suis pas tombé chez Françoise Akis par hasard. J’ai l’impression de découvrir toute une facette de moi que je ne connaissais pas et aussi d’avoir une oreille attentive qui m’écoute avec bienveillance et qui me propose des chansons, des exercices en fonction de moi , de ce que je sens, de ce que j’ai à travailler,...

J’avoue qu’au départ j’étais un peu gêné de chanter devant quelqu’un parce que je sentais bien que je ne chantais pas juste. J’avais un peu peur que Françoise Akis se décourage mais c’est mal la connaître-)

En effet elle est pugnace et ce que j’apprécie c’est qu’elle m’encourage. Elle m’a tout de suite dit que de toutefaçons, le bon côté des choses c’est que, si je pense chanter très mal, alors je ne peux que progresser. Maintenant je commence à mieux entendre les sons grâce à quelques exercices que Françoise Akis m’a proposé pour développer la justesse, je sens que je chante de mieux en mieux. Et j’avoue que ça m’amuse beaucoup. Je ne sais pas finallement si je retournerai vers une chorale de chant cistercien mais je sais que maintenant que j’ai gouté au chant, je ne compte pas m’arrêter. Je redécouvre des chansons françaises, je passe tantôt de chansons de mon enfance à des chansons actuelles et j’avoue que je m’amuse beaucoup. Et le plus surprenant c’est que tout en m’amusant à chanter, grâce aux exercices corporels, je me sens de plus en plus détendu, plus ancré et j’ai l’impression d’enfin mieux habiter mon corps»

Alexandre